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Autour de nous

Constat et perspectives dans la capitale

Il y a un problème de moralité, il y a aussi des raisons voilées qu’il convient de détecter (ou plutôt de dénoncer), pour y trouver des solutions appropriées et convenables à tous. Une fois le diagnostic opéré, des solutions doivent être trouvées, au cas où ces solutions sont trouvées et que les mêmes vices persistent, alors là il faut prendre des mesures coercitives envers les contrevenants. L’une de nos missions est d’encourager les compétences et les bonnes initiatives dans notre pays, pour faire émerger les valeurs positives et les talents, car une seule main ne peut pas attacher un paquet au milieu d’une génération perverse et corrompue.

Il n’est pas normal qu’on rencontre dans les rues régulièrement de jeunes filles qui s’habillent comme si elles étaient dans leurs chambres.

Il est question de changer les tendances des valeurs au Cameroun. Jusque-là c’est ce qui est mauvais qui est beau et bon. Il faut renverser cette tendance qui a pourri notre société. Les valeurs positives doivent être à nouveau inculquées à la jeunesse camerounaise et aux populations de notre pays.

La corruption doit être considérablement mise hors du camp, pour réduire les souffrances et les peines endurées par les Camerounais eux-mêmes et les étrangers au Cameroun.

Création  d’une sorte de police des mœurs et des écarts de comportements dans nos rues, les taximen qui passent leur temps à insulter les autres usagers quand on essaie de leur faire quelques remontrances sur un mauvais comportement. Ex : Un taximan qui monte sur le passage clouté au niveau de la Poste centrale, je lui dis qu’il est sur un passage interdit, monsieur me répond par : Fout moi le camp !

Plus loin, le même jour, un autre taximan se frotte avec son collègue, il ne tarde pas à lui jeter : Ta maman, tu entends !

Il faut en finir avec ce genre de comportement rétrograde avec des sanctions exemplaires. A la place du flashage des infractions de la route en Europe, nous mettrons des agents de surveillance qui agiront comme des policiers, ils enregistrent les numéros ou les coordonnées des contrevenants. Ces mêmes agents se rendront dans la plupart des administrations, les écoles et les hôpitaux discrètement pour voir le comportement des Camerounais dans leurs lieux de travail.

On dit couramment que l’exemple vient d’en haut, étant donné que jusque-là cette maxime n’a pas été vérifiée au Cameroun, notre engagement opte pour le renversement de cette vue de l’esprit : l’exemple doit désormais partir du bas.

« Notre rôle est celui de chien de garde dans la société, en tant que journaliste. Celui du GIC – PAC à travers ses productions est le prolongement de celui du journaliste. »

 

Le Délégué

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Date de dernière mise à jour : 05/07/2021

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